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Mar 30
C.37. Effets Des Antibiotiques Sur Les Défenses Immunitaires PDF print email
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Thursday, 24 December 2009 01:52
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INTÉRÊTS VIS-À-VIS DE L'INFECTION À VIH ET D'AUTRES MALADIES.


  1. INTRODUCTION
  2. ATB & IMMUNITÉ : GÉNÉRALITÉS
  3. ATB & PHAGOCYTOSE
  4. ATB & CHIMIOTACTISME
  5. ATB & ADHÉRENCE
  6. ATB & FACTEURS DE CROISSANCE
  7. ATB & CYTOKINES
  8. ATB & AUTO-IMMUNITÉ
  9. ATB & INFECTIONS INDUITES
  10. ATB & RADICAUX LIBRES
  11. ATB & TUMEURS
  12. SYNTHÈSE
  13. CONCLUSION

INTRODUCTION

Depuis la découverte des antibiotiques (ATB), leur utilisation a permis de traiter efficacement de nombreuses maladies infectieuses. Dans les années 1980, le recours aux ATB s'est révélé très utile pour traiter certaines infections opportunistes contractées au cours de l'infection à VIH, et surtout pour traiter préventivement certaines de ces infections opportunistes. La prophylaxie primaire de la pneumocystose et de la toxoplasmose par le sulfaméthoxazole/trimethoprime (Bactrim®) est de ce point de vue exemplaire (parmi les traitements conventionnels, ce fut, jusqu'à l'avènement des trithérapies, le seul traitement efficace avec les traitements à visée curative de certaines infections opportunistes). L'utilisation au long cours de cet ATB a conduit certains à se poser la question du risque de l'utilisation en chronique de cet antibiotique. Il apparaît que ce risque serait négligeable en regard du bénéfice obtenu.

Depuis plusieurs décennies, les ATB ont été utilisés de plus en plus dans les pays industrialisés, non seulement en clinique humaine, mais aussi dans l'alimentation animale. Il apparaît que cette utilisation a été particulièrement excessive pour traiter notamment des infections ORL (notamment des angines et des rhino-pharyngites qui sont souvent d'origine virale), ou broncho-pulmonaires. Dans le cadre du Sida, une étude a d'ailleurs montré récemment que l'efficacité des ATB pour traiter la plupart des sinusites est très limitée (Lancet, 349, 9053, 683-687, mars 1997).
Cet emballement des prescriptions s'explique en partie par une pression des laboratoires pharmaceutiques auprès du corps médical soucieux de traiter efficacement, mais aussi de traiter rapidement (notamment en pédiatrie). Les pressions des laboratoires pharmaceutiques se sont accrues en proposant des antibiotiques ayant des spectres d'activité de plus en plus larges (cet argument de vente a particulièrement été utilisé pour les céphalosporines) en ignorant consciemment le risque d'apparition de résistances aux antibiotiques.
Dès les années 1970-1980, des médecins et chercheurs ont évoqué ces risques d'apparition de résistances aux antibiotiques en raison d'une utilisation excessive au sein d'une population donnée. En effet, plus on utilise des antibiotiques ayant des spectres larges d'activité pour des infections nécessitant un spectre d'action limité, plus on favorise l'apparition de mutations au sein des bactéries. Ceci nécessite, pour une population donnée, d'avoir recours ultérieurement à des antibiotiques ayant des spectres d'activité de plus en plus large pour une personne donnée, mais aussi pour les autres personnes, même pour celles qui n'ont jamais ou peu reçu d'antibiotiques au préalable.

Il semblerait que certains antibiotiques pourraient avoir aussi des effets négatifs sur les défenses immunitaires, voire même favoriser des processus tumoraux, que ce soit chez les personnes infectées par le virus du Sida ou chez d'autres personnes, même indemnes de toute maladie. D'autres ATB n'auraient pas cet effet, et certains auraient même une action favorable sur les défenses immunitaires.

Il importe donc de se pencher sur ces effets, et ce d'autant plus que des ATB sont parfois très efficaces pour traiter certaines infections (notamment des infections opportunistes) ; mais il n'est pas exclu que certains de ces ATB puissent avoir des effets néfastes à d'autres niveaux, et qui pourraient peut-être se déclarer à distance. Ces effets néfastes seraient peut-être plus fréquents sur certains terrains, comme par exemple les déficits immunitaires (infection à VIH, dénutrition), ou en conjonction avec des facteurs favorisant le développement de cancers (rappelons que la fréquence des cancers est accrue au cours de l'infection à VIH). Ces effets pourraient avoir aussi des implications pour les maladies auto-immunes, pour les transplantations d'organes et dans le domaine des manifestations allergiques.

Récemment, une étude[1] a montré que la rifampicine activait, in vitro, le récepteur des glucocorticoïdes. Il importe que l'on détermine si cet effet immunodépresseur existe aussi in vivo, même à minima. En effet, cet ATB est un des antituberculeux les plus efficaces, et c'est le plus utilisé en Afrique où la tuberculose est redevenue une infection très préoccupante. Dans le cadre du Sida, il s'agit d'une infection opportuniste qui engage encore le pronostic vital. Et il ne faut pas oublier qu'en Afrique, on a recensé en 1996 plus de 170 millions de personnes infectées par M. Tuberculosis (dont 3,7 infectées aussi par le VIH).
Ce que l'on sait depuis longtemps, c'est que la rifampicine peut, parmi ses effets secondaires, occasionner in vivo, lors de son utilisation thérapeutique chez l'être humain, des chutes de globules blancs (leucopénies). À la lueur de plusieurs publications, il pourrait s'agir d'une traduction d'une immunodépression en rapport avec l'activation du récepteur aux glucocorticoïdes et/ou d'autres mécanismes.

En effet, des publications antérieures ont déjà fait état de possibles effets de la rifampicine et d'autres ATB sur les fonctions immunitaires. En voici le détail.

Last Updated on Friday, 19 March 2010 18:22
 
C.36. Naltrexone PDF print email
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Wednesday, 23 December 2009 16:25
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A really efficient immunomodulator at every step of seropositivity

Naltrexone (commercial name in France : Nalorex®) is a synthesis molecule. It is an opiate antagonist that acts in competition with morphin and opiates on central and peripheric nervous system opiate receptors and on immune system cells. It has been used as a supporting treatment for drug addicts. In that case, the usually posology used is 50 mg/day.

For years numerous small assays have been carried out for HIV+ patients, and today low dose Naltrexone use (3mg/day at bedtime ; which requires fractionning the 50 mg tablet by the pharmacist), is part of the treatment of 15 000 seropositive patients in USA and Europe, and is prescribed by almost 600 doctors, especially by Dr. Bihari, New York (tel 212 929 4196, Fax 212 229 9371).

Naltrexone use is based on following points :
  1. A seric decrease (one third of its normal value) of endorphin (bêta endorphin) is observed for HIV+ patients (Spinazzola F, et al., Riv. Eur. Sci. Med. Farmacol., 1995, 15, 5, 161-165), even if there is no consensus on this fact (Barcellini W, et al., Peptides, 1994, 15, 5, 769-775).
    These opiate substances are neurohormones that regulate the immune System by linking to receptors present on some particular cells of the immune system. This regulation occurs by means of a relatively unknown mechanism of cell activation, particularly Natural Killer cells (Gatti G, et al., Brain Behavour and Immunity, 7, 16-28, 1993) and by cellular secretions (cytokines, immunoglobulins).
  2. Low dose (3 mg/day) Naltrexone use for HIV+ patients increases endorphin concentrations (bêta endorphin and metenkephalin), whereas high doses (50 mg/day and more) knocks down endorphin secretion
  3. Naltrexone also favours Natural Killers cell action and CD8 cytotoxic lymphocytes, which could explain its action in some cancers.

The first assays with Naltrexone alone have been carried out in 1985-1986 by Dr. Bihari in New York (B. Bihari and al., Int. Conf, on Aids, 1989). During a double blind test made for 38 AIDS patients for 3 months, a drastic decrease of opportunistic infections (OI) was observed in the treated group (no OI for 22 patients) versus 5 OI out of 16 patients in the placebo group. At a biological level, lymphocyte response to mitogens is decreased in the placebo group and normal in the treated group, alpha interferon concentration significantly decreases in the treated group but not in the placebo group.

In 1996, a checkup carried out for 158 patients of Dr. Bihari, ten among them being under antiretroviral therapies, shows on the totality of the group a stabilisation of the T4 cell count during 18 months (from an average of 358 to 368/mm3). On this same period, it is observed for the non-treated group a significant decrease of T4 cell count (from 297 to 176 as a mean value). Concerning a larger number of patients, a T4 cell count stabilisation is observed for more than 85% of the patients. Concerning OI and disease, 25/55 and 13/55 are respectively observed in the non-treated group and only 8/103 and 1/103 in the treated group. In this assay, some patients were treated for 7 or 8 years and the progression stop maintained during all this period. Besides, no side effects were noticed.

Various combinations of treatment with conventional antiretrovirals have lead to numerous assays. Associated with AZT + 3TC, we observe for 19 patients, during 18 months, a significative increase of T4 cell count, mean value raising from 88 to 194/mm3 with for all an increase of at least 30%. Besides, a comparative study with AZT + 3TC, only for 68 patients, provides a very weak increase of T4 cell count (mean value raising from 352 to 392 in 6 months). Finally, with Naltrexone, a better standing and a weight gain (5 to 25 kg in two months !).

Concerning another group of 45 patients, already under AZT + 3TC + Naltrexone, lndinavir was added (800 mg x 3/day) and Nevirapine (200 mg x 2/day). Before this change of treatment, T4 mean cell count was 235 (betwen 5 and 249) and mean viral load was 74 210 copies/ml. Alter one month, 42 out of the 45 patients had an undetectable viral load which remained unchanged. After 7 months, T4 cell mean value increased until 349 and their percentage from 15.2 to 20.4%. A cholesterol increase was observed (159 to 209). Clinical state improved, no OI occured and mean weight gain was 4 kg.

The failure for 3 patients is due to the too low Indinavir plasmatic concentration (inferior to 8M, one hour after administration), which would justify the commercialization of dosage kits of Indinavir to adjust therapeutical posology.

Last Updated on Friday, 19 March 2010 18:24
 
C.35. Le Sida : une autre plaie pour l'Afrique PDF print email
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Wednesday, 23 December 2009 16:06
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Parmi les plaies qui frappent l'Afrique, il y en a une, parmi celles décrites dans l'article intitulé "Les sept plaies de l'Afrique", paru dans Alternatives Économiques (n° 152, octobre 1997), qui mériterait d'être enfin plus largement évoquée : il s'agit du Sida.

En effet, l'Afrique, avec plus de 14 millions de personnes infectées par le virus du Sida, est le continent le plus touché par cette épidémie planétaire, et les répercussions du Sida sont multiples (démographiques, sociales et économiques) et risquent, d'un point de vue économique, de concerner aussi à l'avenir les autres pays.

En raison de l'état de pauvreté de nombreux africains, de la situation précaire des infrastructures sanitaires et des moyens très limités pour développer des campagnes d'informations et de prévention, cette épidémie n'a pas cessé de s'étendre sur ce continent. Et ce, depuis le début de l'épidémie en 1981 ; car ce fut aussi un des premiers continents à avoir été autant touché.

À ceci, il faut ajouter trois autres causes pouvant aussi expliquer l'ampleur de cette épidémie en Afrique. Deux faits d'ordre socioculturel ont favorisé cette extension : il s'agit de la polygamie, dont la fréquence est plus élevée que dans les autres pays, et de la difficulté de faire passer les messages de prévention concernant la recommandation de l'utilisation du préservatif (les campagnes sont certes limitées, mais surtout les messages transmis ne sont généralement pas adaptés aux contextes socioculturels africains). Il conviendrait d'autant plus de développer ces campagnes que souvent la peur du Sida est telle que certaines personnes atteintes préfèrent ne pas contacter les structures sanitaires, redoutant que leurs proches apprennent leur maladie. La troisième, d'ordre économique, est particulièrement spécifique à l'Afrique : il s'agit du fait que le recours à l'allaitement maternel est la seule manière de nourrir les nourrissons, et même les bébés jusqu'à un âge avancé ; ce qui fait que le mode de contamination des enfants par cette voie est très fréquent et que les prévisions concernant le nombre d'adultes jeunes infectés - une partie des adultes actifs de demain - sont des plus sombres. Les nombreux conflits armés constituent une quatrième cause dont les conséquences sont nombreuses : aggravation de l'état de pauvreté de certaines personnes et de l'état des structures sanitaires. Et ces guerres rendent parfois encore plus précaire l'accès aux soins quand les personnes séropositives doivent s'expatrier de leur pays en guerre et migrer dans d'autres pays d'Afrique, en devant alors, parfois, se séparer de leur famille.

Depuis déjà quelques années, l'épidémie due au Sida a des répercussions économiques : des entreprises, qui avaient pu se développer depuis les années 70, ont été mises en péril en raison de l'état de santé de leurs dirigeants. Ces répercussions risquent de devenir très préoccupantes dans la mesure où la plupart de ces entreprises se sont développées, en marge de toute aide de l'État, dans le cadre d'une économie de survie, celle du secteur "informel", qui a permis d'absorber une part importante et croissante de la population active, au détriment, notamment du secteur public. Or, certains économistes, comme Jacques Charmes (Directeur de recherche à l'Orstorm), cité dans "Les Sept Plaies de l'Afrique ", considèrent que les "micro-entreprises" issues de ce secteur informel pourraient devenir un levier du développement économique en Afrique.

Last Updated on Friday, 19 March 2010 18:26
 
C.34. Au sujet de la polémique... PDF print email
Written by Administrator   
Wednesday, 23 December 2009 15:39
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Au sujet des polémiques autour du vaccin contre l'hépatite B, et plus précisément sur les risques hypothétiques de ce vaccin.

Un article, paru récemment dans la grande presse (Le Parisien Libéré du 9 octobre 1997), s'adressant directement aux dix-sept millions de français qui ont été vaccinés contre l'hépatite B, vient de reposer la question de l'intérêt de ce vaccin dans un pays comme le nôtre, et celle de ses éventuels dangers.

Depuis trois ans, les campagnes de promotion de ce vaccin ont poussé les Français à se faire vacciner systématiquement. Cette vaccination à titre systématique apparaît aujourd'hui comme médicalement contestable : elle est, de plus, extrêmement onéreuse (son coût annuel représente 1,1 à 1,2% du budget total de la Sécurité Sociale ... soit près de 15 milliards de FF !) ; enfin elle peut présenter des risques.

Nous avons cherché depuis, décembre 1994, à avertir le ministère de la Santé de ces risques : sans le moindre succès. Il est donc important que les dix-sept millions de personnes vaccinées soit clairement informées, et ce d'autant plus que la grande presse vient de signaler les éventuels dangers auxquels sont exposées ces personnes.

Cette vaccination peut entraîner des effets secondaires dans un délai qui est encore difficile à préciser exactement : à notre avis, de trois à six mois après cette vaccination. Mais d'autres, comme le Docteur Laurent Hervieux (dans son article paru dans Vous et Votre Santé, cité par Le Parisien Libéré), pensent que ce délai pourrait atteindre deux ans. Il serait important que des études soient réalisées afin de préciser ce délai et pouvoir ainsi restreindre déjà l'anxiété de certaines personnes vaccinées.

Parmi ces effets secondaires, des affections neurologiques graves peuvent être déclenchées par cette vaccination. Il s'agit d'abord du syndrome de Guillain-Barré : le Tribunal de Grande Instance de Nanterre (Première Chambre, Section 3) a reconnu la responsabilité du laboratoire Pasteur et le lien de causalité, condition sine qua non de responsabilité, entre la vaccination contre l'hépatite B et l'apparition de ce syndrome. Et il a condamné le laboratoire Pasteur le 4 avril 1997 ; et l'appel a été interjeté (Æsculape, l997).

Last Updated on Friday, 19 March 2010 18:27
 
C.30. Traitements Alternatifs / Complémentaires PDF print email
Written by Administrator   
Wednesday, 23 December 2009 13:55
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Depuis notre dernier dossier de 1995, paru dans la revue Vous et Votre Santé, près de 20 000 articles sont parus dans la plupart des domaines déjà couverts auparavant, mais avec une très faible minorité concernant des études cliniques contrôlées tant en traitements officiels qu'en traitements alternatif/complémentaires.

Les controverses concernant les origines et les causes de la maladie ne sont pas closes, même si pour l'étiologie du Sida, l'efficacité des trithérapies,[1] qui établit une corrélation entre diminution de la charge virale et restauration partielle de l'immunité, donne un argument de poids au dogme HIV= cause unique ou cofacteur majeur du Sida.

Grâce à l'utilisation du nouveau marqueur biologique que constitue la charge virale, l'évaluation devrait pouvoir se faire beaucoup plus rapidement. Pour le moment, et bien que ce marqueur, intéressant mais coûteux, ne soit pas d'une fiabilité totale (on observe encore des décès avec une charge virale indétectable ; et, inversement, des patients qui n'évoluent pas dans la maladie, malgré une charge virale élevée), son usage est loin d'être généralisé dans les protocoles et essais pilotes. Sa mesure, surtout utilisée pour les trithérapies et les essais avec de nouveaux antiviraux, sert aussi d'argument commercial fort pour la mise rapide sur le marché de nouveaux antiviraux.

Par ailleurs, on doit regretter que, dans la pléthore des publications, il n'y ait pas eu de réponse aux questions essentielles concernant les différents mécanismes conduisant au déficit immunitaire in vivo, et leur poids relatifs au niveau tant individuel que d'un groupe. Sans réponse sur ces mécanismes pathologiques, la recherche thérapeutique risque de se perdre dans des chemins de traverse.

Au niveau des traitements alternatifs/complémentaires, les patients y ont toujours recours en très grand nombre,[2,3,4] même si on prétend, sans que des publications soient venues l'étayer, qu'avec le succès, au moins à court terme, des trithérapies, les traitements alternatifs seraient en perte de vitesse.

Parmi les résultats marquant de ces deux dernières années, on doit signaler le rôle important de la génétique (système HLA) dans le devenir des séropositifs, le rôle du facteur psychologique et psychosocial, l'utilisation de nouvelles plantes ou associations de plantes, l'influence du stress oxydatif sur l'évolution de la maladie, l'intérêt de la glucuronamide sur la restauration du système immunitaire, ou le freinage de son effondrement.

Concernant la sélection des traitements que nous avions proposée dans notre dossier de 95, réglisse, acupuncture et herbes chinoises, oxygénation cellulaire, Herpès Virus n° 7, facteur de transfert, nous persistons dans ces recommandations, même si, à l'exception du facteur transfert, il n'y a pas eu, à notre connaissance, de nouvelles publications sur ces voies.

Last Updated on Friday, 19 March 2010 18:28
 


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